Il faut rappeler qu’en décembre dernier, comme l’a indiqué le Secrétaire Général du Ministère des Finances en ouverture des travaux, 8 pays sur les 53 Etats membres de l’Union Africaine avaient émis des réserves sur le montant des contributions étatiques proposées pour la constitution du capital du FMA dont le but est de faciliter l’intégration des économies africaines.
Jean TCHOFFO, qui présidait les travaux de Yaoundé a indiqué que ” l’enjeu des débats était de doter le Fonds Monétaire Africain d’un instrument juridique efficace, tout en lui procurant une structure de financement viable et réaliste, à la hauteur des ambitions que les Etats africains nourrissent pour cette importante institution.
Les débats qui semblaient achopper sur l’Article 7 relatif à la constitution du capital du Fonds, ont finalement débouché sur un consensus fondé sur l’adoption des formules 3 et 4 proposées dans les annexes par les experts du Comité de pilotage de la mise en place du Fonds.
Si ces propositions sont adoptées par les Ministres des Finances lors de leur prochaine réunion à Addiss-Abeba en fin mars 2011, le capital du FMA serait de l’ordre de 22,64 milliards de dollars auquel le Cameroun souscrirait à raison de 1,89% des parts à débourser sur 4 ans.
Les plus gros contributeurs seraient l’Afrique du Sud, l’Algérie et le Nigéria.
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